Papa was a rolling stone
Samedi 25 février.
Un comble : j’ai failli me faire renverser par une voiture d’enfant ! Au détour d’une rue, une femme courait comme une folle en poussant une voiture d’enfant, elle voulait profiter du feu vert. J’ai juste eu le temps de m’arrêter, je ne marchais pas vite. D’accord elle venait de la droite, mais quand même ! Décidément, on n’est en sécurité nulle part…
Si ta vie s’endort, risque-la ! (Jean Malrieu)
Toujours mal à l’aise avec les images, j’ai raté dans mon avant-dernier écrit l’introduction d’une grenouille "météo", et aujourd’hui je me suis pris la tête avec des photos numériques qui n’avaient pas la bonne résolution. Le nombre de pixels n’était pas au rendez-vous, il en manquait quelques milliers. Je crois que c’est plutôt à moi de prendre une bonne résolution… J’ai vu qu’on venait de découvrir (!) que les gens qui prennent des risques sont ceux qui réussissent le mieux et qui ont une plus grande espérance de vie…
Dimanche 26 février.
Encore des problèmes dans l’escalier ce week-end. Une cocotte-minute a failli exploser, ça sentait bien le cramé quand je me suis levé ! Au moins, ça a l’avantage de me faire rencontrer des voisins que d’habitude je ne vois presque jamais, surtout en hiver. Cette fois-ci nous en avons marre, nous avons décidé d’agir au plus haut niveau pour faire cesser toutes ces nuisances qui nous pourrissent la vie. Ce n’est pas de gaîté de cœur, mais quand il le faut…
Il n’y paraît pas, mais ça sent le printemps. Je le vois à certains signes, notamment les oiseaux qui commencent à s’affoler, ils se répondent de bosquet en bosquet, ça fait un joli effet stéréo. Ils ont l’air de vraiment se moquer du froid…
Lundi 27 février.
Rêve : Je vois mon père qui passe sur la route là-bas, mais je n’ai pas envie de le rencontrer. Malheureusement, il se rapproche de moi et me prend dans ses bras, me serre très fort. Je n’aime pas ça.
Je le revois assis sur le lit, je devais avoir 5 ou 6 ans, il tournait les pages d’un gros livre et me montrait des cartes de géographie, tu vois mon chéri c’est là que je vais aller, et puis là aussi, et encore là… J’étais très content, très fier de lui. Puis il est parti, j’attendais qu’il revienne, je grandissais il se passait plein de choses dans ma vie de temps en temps une jolie carte postale avec trois mots bons baisers à bientôt vraiment sympa papa j’espère que tout va bien pour toi moi ici on se moque pas mal de moi mais bon c’est la vie n’est-ce pas j’amasse pas mal de mousse.